Chiropratique sportive

Le Kinésio-taping: une thérapie efficace !

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Une des thérapies complémentaires les plus répandues à travers l’univers des sportifs et utilisée à la Clinique Stratégie Santé est le Kinésio-taping. Cette thérapie est utilisée principalement pour les troubles musculaires, mais peut également servir à soutenir le traitement des conditions ligamentaires et circulatoires.

Contrairement aux tapings classiques, le kinésio-tape ne crée pas une stabilisation statique de l’articulation, il permet donc une liberté de mouvement du membre en question, ce qui favorise le retour lymphatique.  De plus, grâce au soulèvement de la peau qu’occasionne le kinésio-taping, la pression et l’irritation des récepteurs neurologiques de la peau et des muscles est diminuée.

Avant d’appliquer le kinésio-taping, on doit savoir la raison principale de l’application (car la raison influencera la technique d’application) :

  • Est-ce que je veux faciliter ou inhiber un muscle ?

Pour faciliter un muscle, le taping commencera à la partie proximale du muscle et une tension d’environ 35-50% sera appliquée dans le tape. Pour inhiber un muscle, 10% de tension sera appliquée de distal vers proximal.

  • Est-ce que je veux diminuer l’enflure et aider au drainage des hématomes ?

Dans le cas où de l’enflure est présente, c’est la technique de la pieuvre qui est le plus efficace pour la réduire, tout est dans le coup de ciseau 🙂

  • Est-ce que je veux faciliter la réhabilitation articulaire ?

Application plus soutenue de tape, tension dans celui-ci frôlant 70% et diminuant au fil de la guérison. Cette application permet à l’articulation de bouger quand même, sans toutefois aller dans les amplitudes extrêmes.

 

Autre chose : la couleur n’est qu’esthétique ! Que votre taping soit bleu, rose, noir, beige ou vert, il a les mêmes propriétés.

Mise en garde : le kinésio-tape ne doit pas devenir une béquille. Il doit être temporaire dans votre plan de traitement et ne doit pas remplacer le traitement à proprement parler. C’est un bel et bon outil pour aider au recouvrement de la fonction du membre blessé, mais il ne reste qu’un outil 🙂

Échauffements et étirements : des stratégies efficaces pour éviter les blessures

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Le mois de mars et sa température clémente est à nos portes. Certains d’entre vous continueront à bouger comme à leur habitude, d’autres auront des fourmis dans les jambes et auront envie de se mettre à l’activité physique. Évidemment, en bon athlète que vous êtes, vous vous échauffez / étirez parfois avant, parfois après le sport (et ça c’est quand vous le faites !). Mais est-ce la bonne technique? Doit-on s’échauffer ou s’étirer ? À quel moment doit-on le faire?
Ces questions reviennent souvent dans nos bureaux, et le but principal d’un tel article est évidemment d’y répondre, mais surtouuuutttt de vous permettre d’avoir les bons outils pour vous entraîner et ainsi éviter les blessures (mieux vaut prendre dès le départ de saines habitudes d’entrainement pour ainsi accompagner vos amis aux activités au lieu de venir visiter vos chiropraticiennes préférées à la Clinique Stratégie Santé !)
Avant de commencer, voici quelques définitions…
1- Échauffement: consiste à l’activation du corps via des sources de chaleur externes. Autrement dit, on prépare notre corps à l’activité physique en augmentant sa température via des exercices spécifiques à notre sport (ex: dois-je avoir un départ canon afin d’éviter d’être pris dans le trafic ou bien je dois me préparer à une longue activité d’endurance ?) . Durant de longues années, les exercices d’étirements ont fait partie de l’échauffement, mais de nombreux articles indiquent maintenant que ce n’est plus automatiquement le cas.
2- Étirement: favorise la récupération après un effort physique et permet de garder une souplesse des articulations et des muscles. L’étirement est souvent vu sous forme de mouvements lents et contrôlés.
Quels sont les effets de l’échauffement?
1- Augmente la température corporelle;
2- Augmente le débit sanguin (les muscles reçoivent plus de sang et d’oxygène pour mieux performer);
3- Augmente la ventilation pulmonaire;
4- Meilleure préparation mentale à l’exercice.
Les objectifs de l’échauffement sont simples: 1. Se préparer physiologiquement et psychologiquement pour la performance 2. Prévenir les blessures 3. Créer une période réfractaire à l’asthme (pour les asthmatiques)
Quels sont les effets de l’étirement ?
1- Augmente la mobilité de la colonne par l’assouplissement musculaire;
2-Détente musculaire;
3- Évite les courbatures post-exercice;
4- Évite les blessures.
Quel est l’ordre que l’on doit privilégier ?
Un échauffement doit se faire maximum 15 à 20 minutes avant la pratique du sport, sinon, ses effets positifs sont perdus. L’intensité de l’échauffement dépend du type d’effort que vous vous apprêtez à faire. Si la performance est à court terme (< 10 secondes) on fait un échauffement à 60% de notre capacité totale (V02 max). Si l’on performe à moyen terme (> 10 secondes et <5 minutes) ou long terme (> 5 minutes) on fait un échauffement à 70% de notre capacité. ** Si la température est froide, l’échauffement peut se rallonger de 5 minutes.
Pour ce qui est des étirements, ils s’effectuent après l’activité physique, et ce, à raison d’environ 20 secondes par étirement. Le but est d’étirer les muscles que vous avez sollicités durant l’activité physique.
Sur ce, bonne activité physique !

Les MUSTS à savoir en course à pieds

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Vous désirez éviter l’apparition de blessures ou améliorer vos performances ? Voici quelques trucs de base à savoir !! 🙂
1. LE POSITIONNEMENT
La position de course adaptée est très importante pour éviter l’apparition de blessures en courant. Consultez le schéma ci-joint pour voir la position optimale.
Trop souvent, les gens ont tendance à crisper les poings, à rentrer la tête dans les épaules et ainsi bloquer leur respiration. Le mouvement des bras doit être fait de l’avant vers l’arrière et non en rotation puisque ce mouvement induit une force de torsion trop importante pour la région lombaire, prédisposant ainsi aux blessures au dos. L’inclinaison du tronc doit frôler le 10° pour permettre une propulsion avant du corps, éviter de courir « assis » (qui empêche l’extension complète du genou) et limiter la propulsion verticale du corps (vous êtes un coureur, pas un lapin !!).
2. LA FOULÉE
Un seul chiffre à retenir : 180 !
180 pas/minute est la foulée optimale qu’un coureur devrait adopter. Le pourquoi : ce « pace » permet de raccourcir la foulée, permettant de poser le pied SOUS le centre de masse et donc limiter l’attaque du talon (qui n’est pas pratique puisqu’elle freine la foulée, cause une perte d’énergie et prédispose aux chocs aux articulations).
3. LA CHAUSSURE
Plusieurs facteurs sont à considérer lors du choix de la chaussure : l’absorption, le contrôle de la pronation, la rigidité, la forme… Demandez à un professionnel de vous conseiller selon vos objectifs de course et votre anatomie.
Quand changer sa chaussure ? Lorsque la chaussure est usée, c’est-à-dire lorsque la semelle externe est endommagée/grugée et lorsqu’il y a apparition d’un vice biomécanique (quand le pied prend le dessus sur la chaussure : torsion, empreigne endommagée). La capacité d’absorption d’une chaussure est grandement diminuée à partir de 600 km, donc à ce moment, il devient important de vérifier l’apparence de sa chaussure et penser à les remplacer prochainement.

Parfois, la chaussure peut expliquer l’apparition de douleurs
4. EN CAS DE BLESSURE
À faire : glace, diminuer le volume, écouter son corps, entrainement de substitution, CONSULTER ET TRAITER !
À éviter : continuer malgré la douleur, ignorer le problème, penser que tout est fini !
Vous avez une blessure ? Vous aimeriez faire analyser votre patron de course afin de corriger certaines lacunes ? Sachez que les professionnels de la Clinique Stratégie Santé peuvent vous aider grâce à son tapis À MÊME ses locaux ! 12795351_498971010304522_8486309705873961717_n (1)

Ajustement du vélo: mieux vaut prévenir que guérir !

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Maintenant que la saison de vélo est bel et bien amorcée, c’est possible que certains bobos tendent à faire surface. De quelle façon pouvez-vous corriger le tout ? Voici quelques pistes de solutions.
Voici pour commencer quelques valeurs normales d’ajustement:

Ajustement normal de hauteur de selle (entre 25 et 35 degrés)

Recul de la selle: l’arrière de la rotule ne doit pas dépasser la verticale qui passe l’axe de la pédale

Positionnement des mains
Voici maintenant les lieux possibles de douleur et leurs causes possibles. Il devient donc plus facile de faire les ajustements nécessaires !
Pour toute douleur qui persiste, faites appel aux professionnels de la Clinique Stratégie Santé!